Les 28 Saperlicopines/Saperlicopains de 6ème G
Bonjour Eliot,
les SaperliCompères de 6ème A (en particulier, Gwenn, Sarah, Jeanne, Anne, Théa, Fabien, Louis, Frédéric, Aymeric et Marine) et, Charline, la Saperlicopine...te présentent l'épisode 2 de la Princesse Mononoké, et leurs commentaires, toujours avec le soutien de Madame Bétant.
Résumé de l'épisode 1:
Ashitaka quitte son village pour tenter d'échapper à la malédiction du Dieu Sanglier, blessé par un mystérieux morceau de métal.
Il rencontre, sur son chemin, Dame Eboshi, dont le convoi est attaqué par Moro, la Déesse Louve géante, et sa fille adoptive, une humaine, San, la Princesse Mononoké.
Il vient en aide à deux blessés qu'il ramène, après avoir traversé la forêt du Dieu Cerf, à Tatara, la forteresse où le peuple de Dame Eboshi fabrique des armes à partir du minerai extrait de la forêt des Dieux Animaux.
Il apprend que le mystérieux morceau de métal responsable de la malédiction provient des armes de Tatara et que c'est Dame Eboshi, elle-même, qui a blessé Nago, le dieu sanglier.
Princesse Mononoké réussit à rentrer dans la forteresse.
Elle vient pour tuer Dame Eboshi. Le combat est terrible. Ashitaka les sépare.
Toutes deux sont blessées.
Ashitaka sort San, évanouie, de la forteresse, mais, il est, lui-même , gravement atteint par une arquebuse.
Il emmène San sur sa monture Yakuru, mais très vite, affaibli, il tombe.
San, qui a repris conscience, veut tuer Ashitaka , mais elle comprend qu'il est différent des autres humains et qu'il l'aime.
Elle décide de le conduire au Dieu-Cerf qui le soigne et guérit sa blessure mais ne lui enlève pas sa malédiction.
San veille sur Ashitaka pendant sa convalescence et ils s'attachent l'un à l'autre.
Alors qu'Ashitaka est inconscient, San et les loups partent livrer une grande bataille, aux côtés des sangliers, mené par le vieux Dieu Sanglier aveugle Okkotonushi contre Dame Eboshi et les humains.
San mène le combat sur le dos d'Okkotonushi.
Beaucoup de sangliers et d'hommes sont tués. C'est un massacre.
Ashitaka part à la recherche de San et la retrouve prisonnière de la malédiction: de gros vers noirs qui grouillent sur le sanglier blessé. Il réussit à la libérer.
Des hommes cachés dans des peaux de sangliers les suivent jusqu’au dieu-cerf. Ils sont venus pour couper la tête du dieu et l’amener à l’empereur. Celui-ci pense qu'elle lui donnera la vie éternelle.
Le Dieu Cerf se transforme la nuit en "Faiseur de Montagnes".
Au matin, le Dieu Cerf reprend sa forme de cerf, mais il est décapité par un coup d'arquebuse, tiré par dame Esboshi et sa tête est enfermée dans une boîte.
Son corps, à la recherche de sa tête, se disperse alors, et détruit tout: les plantes, les animaux, les hommes et même les Sylvains.
C'est une énorme catastrophe.
Dame Eboshi, est gravement blessée: la louve Moro lui arrache un bras, puis meurt de ses blessures
Ashitaka et San poursuivent les hommes de l'Empereur pour tenter de retrouver la tête et arrêter le désastre.
Ils récupèrent la tête et la rendent au dieu-cerf; celui-ci reprend son apparence normale et libère Ashitaka de sa malédiction.
Mais aux premiers rayons du soleil, le Dieu Cerf meurt, ce qui provoque une grande tempête. Quand le calme revient, à la place des forêts détruites, repoussent des prairies, et, au milieu de la végétation, un petit Sylvain.
Dame Eboshi décide de construire un nouveau et beau village où Ashitaka choisit de rester.
San, qui ne pardonne pas aux hommes ce qu’ils ont fait, repart avec les loups.
Ils se promettent de se retrouver.
Et voici nos impressions:
J'ai bien aimé le film, mais les sous-titres allaient trop vite. J'ai aussi adoré les Sylvains. Gwenn
J'ai trouvé le film très bien mais il était dur à comprendre, car il était sous-titré; j'ai trouvé les scènes de combat très bien mais je me suis parfois ennuyée, car il n'y avait pas toujours d'action. Sarah
J'ai adoré le film mais j'aurais préféré qu'il soit en version française, car, à certains moments, les sous titres passaient trop vite. Louis
J'ai adoré tout le film, surtout, quand Ashitaka rencontre San et les loups. J'ai aimé aussi la tête du Dieu -cerf. Mais je n'ai pas aimé quand Dame Eboshi tire sur le "Faiseur de montagne" (le Dieu-Cerf) et lui arrache la tête. J'ai adoré ce voyage dans l'Ancien Japon. Marine
Je trouve que le film est "super" parce qu'il a de l'action et des moments joyeux . Les images sont bien dessinées. Bravo à Hayao Miyazaki qui a fait le film !!!!! Jeanne
J'ai bien aimé ce film, mais je l'ai trouvé un peu compliqué. Quand j'ai regardé le film, j'ai pensé que les images étaient bien faites. Puis, j'ai appris que c'étaient des dessins; je me suis dit alors qu'ils avaient dû passer du temps à créer chaque geste. En fait, ils ont mis 4 ans pour le faire. Fabien
Article rédigé à partir des écrits de Meldine, Steven et Ronan.
Parmi les 28 élèves sélectionnés à se déplacer au cross départemental, nous étions trois de 6ème G (Meldine, Ronan et Steven).
Au moment de partir, il y a eu un coup de pistolet , et nous sommes tous partis, mais la piste était boueuse, car il pleuvait beaucoup. Nous avons eu de la boue jusque sur la tête.
Mme Phung et Mme Hervé-Tanguy, les professeurs d'E.P.S, nous ont heureusement prêté des chaussures avec des pointes en dessous, pour courir.
A la fin de la course, j'ai eu un point de côté (c'est Meldine qui parle) mais je ne me suis pas arrêté: j'ai couru jusqu'au bout. Le parcours était long (2Km700), presque 1 kilomètre de plus qu'à l'Erdurière.
Au final, le cross s'est super bien passé. Nous nous sommes bien amusés , nous avons bien rigolé en voyant courir les autres.
C'était une excellente expérience!
Valentin (de 3ème) a terminé 1er des minimes, après avoir fait une super course.
On essaiera de faire aussi bien l'année prochaine.
Eliot, tu seras peut-être avec nous :-)
et, voici la participation de Madame Phung (article lisible aussi sur le site du Collège):
"Tous les ingrédients d’un vrai cross étaient présents mercredi 3 déc. 09 à l’hippodrome de Nantes : de nombreux participants, un parcours boueux, même la pluie s’était invitée à la fête… 28 élèves ont relevé le défi et défendu avec courage les couleurs du collège.
Certains couraient seulement leur deuxième cross après celui du collège ; si la nervosité était alors palpable au départ de la course, ils ont donné le maximum malgré des chutes ou des « petits coups de pompe » en fin de parcours.
D’autres plus expérimentés n’en n’étaient pas moins impressionnés par les nombreux concurrents au départ de leur course.
Tous, y compris les deux profs du collège, ont été ébloui par la dernière ligne droite rageuse de Valentin ponctuée d’une magnifique victoire. Sa première place ainsi que les prestations de ses coéquipiers ont permis à l’équipe des minimes garçons d’accéder à la troisième place du podium et de se qualifier aux championnats d’académie le 20 décembre au Mans.
Merci à tous pour votre belle participation et bon courage à l’équipe minimes garçons pour la prochaine étape !!! Les championnats de France sont en Corse, ça motive !!!"
Bonjour Eliot,
Aujourd'hui, ce sont tes anciens copains de CM2, élèves de 6ème A au Collège, qui te racontent l'histoire de Princesse Mononoké.
Nous sommes tous (tous les "6ème" du Collège) allés au cinéma à Saint Herblain, voir un film d'animation japonais, Princesse Mononoké.
Bon, là, ce sont les photos des 6ème G, car Madame Bétant n'est pas allée le même jour que nous au cinéma Le Lutécia.
C'était pour beaucoup d'entre nous notre 1er film en Version Originale.
Nous étions un peu inquiets, mais, finalement, tout s'est bien passé, et , aujourd'hui, nous sommes tous devenus très forts en japonais...tu t'en doutes.
L’histoire se passe au Japon au 15ème Siècle.
C'est une histoire belle , mais compliquée, que nous allons essayer de te raconter (Madame Bétant nous a un peu aidés).
Pour aujourd'hui, ce sera seulement l'épisode 1.
Ashitaka est un jeune guerrier japonais. Son village est, un jour, attaqué par un énorme sanglier blessé par un mystérieux morceau de métal, qui l'a rendu fou, et sur lequel grouillent des gros vers noirs.
Pour protéger son peuple, Ashitaka tue le sanglier maudit.
Mais, il est lui-même touché au bras par l'animal: sa blessure est mortelle; il est maudit à son tour, et il va mourir.
Il quitte alors son clan, sur sa drôle de monture Yakkuru (Yakkuru ressemble à la fois à un yak et à un bouquetin).
Dans son voyage, il rencontre un mystérieux personnage, Jiko Bou (on saura plus tard que c'est un homme de l'Empereur) qui lui parle d'une forêt à l'Ouest où vivent les Dieux Animaux, protecteurs de la forêt; ils livrent une guerre aux humains qui cherchent à étendre leur territoire.
Ashitaka décide de s'y rendre.
Sur le chemin, il assiste, dans la montagne, à l'attaque d'un convoi, dirigé par Dame Eboshi, qui transporte des marchandises à dos de vaches, par la Déesse Louve Moro et ses deux fils, dont l'un porte sur son dos une humaine, San, la fille adoptive de Moro. Plusieurs hommes du groupe et plusieurs vaches tombent dans le précipice.
Moro, la louve géante aux deux queues, est touchée par une balle.
Ashitaka surprend le clan des loups et aperçoit, pour la première fois, la jeune humaine, San, la princesse Mononoké, qui aspire et recrache le sang de la blessure de Moro, la déesse louve.
San, la princesse Mononoké, a été abandonnée par sa famille et élevée par Moro. San hait les humains. Elle lutte auprès des loups, pour protéger la forêt des humains et, surtout, de Dame Eboshi, qu'elle s'est jurée de tuer.
Ashitaka vient en aide à deux hommes blessés pendant l'attaque et décide de les ramener dans leur village.
Ils doivent, pour cela, traverser la grande forêt, domaine des Dieux Animaux géants.
Ashitaka et les deux blessés sont guidés à travers de la forêt par les Sylvains, de drôles de petites créatures blanches , qui apparaissent et disparaissent quand elles veulent, et qui font des petits bruits en faisant vibrer leur tête.
Ils aperçoivent, après une longue marche, au loin, parmi un troupeau de cerfs, le roi de la forêt, le Dieu-Cerf . De jour, il ressemble à un cerf à visage humain et aux bois enmêlés comme les branches d'un arbre. La nuit, il se transforme en un géant translucide.
Ils arrivent enfin à la forteresse de Dame Eboshi, protégée par de hautes murailles, et Ashitaka découvre les forges.
Ils sont accueillis avec joie.
Dame Eboshi a recueilli et aidé des tas de gens malheureux, des lépreux, des femmes, qu'elle fait travailler dans la fonderie, et avec lesquels elle est très gentille.
Les forgerons, pour la plupart des lépreux, utilisent le fer pour fabriquer des armes à feu.
Ashitaka apprend , que le sanglier qui a attaqué son village a été atteint et empoisonné par un morceau de métal venant d'une arquebuse capable de blesser et tuer un Dieu Animal.
Pour exploiter le minerai de fer, et, pour son activité , Dame Eboshi fait abattre des arbres, et pollue la forêt. Pour elle, le Dieu Cerf et les autres dieux, qui ne veulent pas de son activité d'exploitation des richesses naturelles de la forêt, doivent disparaître.
Fin du 1er épisode.
Ashitaka arrivera-t-il à se débarrasser de la malédiction?
Reverra-t-il la Princesse Mononoké?
Que va-t-il se passer entre les Dieux Animaux et les Humains?
Eliot, tu le sauras très bientôt, dans un 2ème et dernier épisode. Tu découvriras aussi nos remarques et impressions sur le film.
Gwenn, Antoine, Sarah et Fabien de 6ème A avec le soutien de Madame Bétant.. et les commentaires des Saperlicopains/ Saperlicopines.
Ce matin, 1er décembre, nous petit-déjeunons au Collège.
Pour une fois, ce n'est pas l'ordre alphabétique qui décide: les 6ème G sont les 1ers à rentrer au restaurant scolaire.
Tant mieux, car, à la maison, nous avons peu mangé ce matin... et notre estomac se fait déjà entendre.
Monsieur Judas, le "chef" nous accueille et nous fait rentrer dans le restaurant.
C'est superbe: nous découvrons alors tout ce qui nous est proposé, toutes sortes d'aliments, des pains de différents types, des céréales variées, des yaourts, du lait chaud, des fruits frais, des fruits secs.. quel choix! ça donne déjà de l'appétit!
Les couleurs sont très belles (tu peux le voir, Eliot, sur les photos)
Tout le monde est là: la Principale Madame Viaud, Madame Even, le prof principal, tous les "gens" du restaurant et même le journaliste de Presse Océan (nous aussi, on fera peut-être bientôt "la une").
Nous pouvons choisir ce que nous voulons... enfin presque: Madame Mansais, professeur de S.V.T nous rappelle que le p'tit déjeuner est "super important" et nous allons composer un vrai repas équilibré avec des glucides lents (sais-tu ce que c'est Eliot?), des laitages et des vitamines, pour "tenir le coup" toute la matinée.
Nous serons ainsi en pleine forme toute la journée et aurons plein de bonnes notes.
Nous en avons déjà parlé en classe et nous composons notre plateau, "comme il faut".
Enfin, nous nous installons à table, avec nos copains,.. pour déguster ce que nous avons choisi.
C'est bien "plus drôle" qu'à la maison, et, en plus, on a "tout notre temps".
Notre "prof principal" nous reconduit dans notre classe de classe à 9 heures. Il paraît que la prof d'histoire nous a tous trouvé très très attentifs ce matin. Sûrement" l'effet petit déjeuner"!
Pour terminer, "c'était génial", tout ce choix , toutes ces couleurs nous ont "donné envie de manger" et merci à tous ceux qui nous ont fait profiter de ce super repas.. On recommence quand???
Bien sûr, "toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé ne peut être due qu'au hasard... et est indépendante de la volonté de l'auteur"
1er août 2009: c'est le début d'une aventure unique et extraordinaire pour nos Saperliplanautes, Eliot, Jules, Anatole et leurs parents.
Que d'aventures! Je ne pourrais pas vous les raconter toutes! Voici simplement quelques anecdotes.
Au Japon, ils croisent une bande de Sumos qui les forcent à combattre.
Voici Eliot projeté, éjecté pire -plus haut et plus loin- que sur un trampoline. Il s'en rappellera toute sa vie!
En Égypte, poursuivis par une momie, Eliot, Jules, Anatole terrifiés, se précipitent hors de la grande pyramide, pour se réfugier dans les bras de leur parents..
Mais, ouf, Eliot se réveille alors: il est dans son lit, ce n'est qu'un cauchemar, sans doute dû à la visite, la veille, des antiquités égyptiennes du musée du Caire.
Les voici en Afrique, dans un village pauvre.
Les villageois sont si pauvres qu'ils prennent Eliot si bien habillé, aux cheveux si blonds, pour un Prince, l'habillent de tissus multicolores et le couvrent de bijoux, de la tête aux pieds.
Eliot se souviendra surtout de ce fameux anneau d'or qu'il a fallu qu'il se mette dans le nez!
Je vous rassure: notre ami garde de bons souvenirs de toutes ces belles rencontres avec le Monde.
Le voyage continue, et, je vous raconterai, dans un prochain épisode, la suite des aventures.
A bientôt.
Maëva.